La vague révolutionnaire nait le 17 décembre 2010, à Sidi Bouzid, en Tunisie, où l’immolation d’un vendeur ambulant de fruits et légumes, embrase le monde arabe. Elle chasse Ben Ali en Tunisie, Moubarak en Egypte. En Libye, elle tourne à la traque à mort de Kadhafi. En Syrie, elle devient une guerre civile dévastatrice de plus de dix ans.

En destituant les dictateurs, les jeunes rebelles pensaient avoir gagné la liberté et la démocratie. En fait, une organisation islamiste structurée par des années de clandestinité, la confrérie des Frères musulmans a pris le relais de ceux-ci. Que sont devenues la liberté, la démocratie, la justice sociale revendiquées par les «printemps arabes»? « La confiscation » révèle le jeu des luttes de pouvoir derrière les révolutions.

Presse:

– Article Le Figaro : http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/documentaire/75524/printemps-arabes-la-tunisie-a-mieux-reussi.html